Calandrini est l'un des savants à qui sont destinés les résultats du voyage au Nord (cf. 9 novembre 1737 (1)).

Clairaut demande à Cramer de lui envoyer les travaux de Calandrini sur la théorie de la Lune (cf. 13 avril 1744 (1)), ce qu'il fait en transmettant un premier mémoire en mai 1744 (cf. Mai 1744 (1)). En réponse, Clairaut envoie C. 32 à Calandrini via Cramer (cf. 12 juillet 1744 (1)), déclenchant, toujours par l'intermédiaire de Cramer, l'envoi d'une lettre et d'un second mémoire de Calandrini en août (cf. Août 1744 (1)).

Clairaut adresse peut-être à Calandrini un exemplaire de C. 31 (cf. 4 décembre 1746 (1)).

Lesage rappelle que Calandrini a participé au Commentaire de Newton dans (Jacquier 39-42) (cf. 26 février 1747 (1)).

Certains prétendent que Calendrini avait déjà relevé le défaut de la théorie newtonienne pour le mouvement de l'apogée de la Lune que Clairaut annonce dans C. 33 lors de l'assemblée publique du 15 novembre 1747 (cf. 15 novembre 1747 (1)).

Calandrini demande des éclaircissements sur cette séance (cf. 12 décembre 1747 (1)), tandis que Clairaut lit un mémoire sur le sujet qu'il résumera dans une note de C. 33 (cf. 20 décembre 1747 (1)).

De la Rive vient aux nouvelles (cf. 29 décembre 1747 (1)).

Clairaut envoie son mémoire à Calandrini (cf. [c. janvier 1748]), ce dernier en faisant état et lisant sa réponse à quelques collègues (cf. 17 février 1748 (1), 28 février 1748 (2)).

Calandrini envoie sa réponse à Clairaut (cf. 19 février 1748 (1)) via Cramer (cf. 20 février 1748 (2)).

De la Rive donne des nouvelles (cf. 28 février 1748 (2)).

Clairaut accuse réception auprès de Cramer de la réponse de Calandrini (cf. [6 mars] 1748), qu'il évoquera brièvement dans C. 33², et répond à ce dernier (cf. 6 mars 174[8]).

Buffon invoque les calculs de Calandrini dans sa dispute avec Clairaut (cf. 20 janvier 1748 (2), 11 juin 1749 (1), 23 juin 1750 (1)) mais se ravise dans la version publiée (Buffon 45a). Clairaut lui répond sur ce point dans C. 34, de façon allégée dans la version publiée (cf. 17 février 1748 (2)).

Buffon trouve que la note tirée ajoutée à C. 33 est désagréable pour Calandrini (cf. 14 décembre 1748 (2)), à l'inverse du principal intéressé (cf. 14 septembre 1750 (1)).

Après la rétractation de Clairaut, Calandrini va triompher aux yeux du public, mais pas à ceux qui connaissent vraiment la question (cf. 3 juin 1749 (1)).

Walmesley utilise un méthode similaire à celle de Calandrini pour montrer que Clairaut se trompe sur le mouvement de l'apogée de la Lune (cf. 26 juillet 1749 (1)).

Clairaut s'entretient de Calandrini avec de Champeaux (cf. 2 février 1750 (1)).

Calandrini quitte les mathématiques (cf. 5 août 1750 (2), 13 octobre 1750 (1), 18 novembre 1750 (1), [c. janvier 1751]).

Plus tard, Langes de Lubières cherchera à en savoir plus sur la contestation entre Clairaut et Calandrini (cf. [26 mars 1759]).