Alexis Clairaut (1713-1765)

Chronologie de la vie de Clairaut (1713-1765)


31 mars 1761 (1) : Les sœurs Planström : déposition Peyrand de Beaussol :
[En marge : 7e [témoin], r[écolé], c[onfronté] au deux [accusés]]

S[ieur] Fleury Peyrand de Beaussol, bourgeois de Paris, y demeurant a l'hotel d'Orleans, rue du Parc Roïal, p[aroi]sse S[ain]t Paul, agé de quarante ans [...] dépose [...] qu'etant requis de dire ce qu'il sait sur les mœurs de la dame de Pelletot et celles du s[ieur] de Bragelogne et contraint de sacriffier la repugnance naturelle que tout homme eprouve en contribuant a la ruine d'un autre, aux interets sacrez de la conscience et de la verité, il declare que seduit par le nom de Bragelogne que porte le comte susdit, et par des avances de politesse qu'il n'a pas sçu soubconner de perfidie, il s'est lié il y a environ neuf a dix mois avec cet homme qu'il ne nommera plus du nom qu'il porte a cause du respect qu'il a pour les personnes a qui il appartient veritablement a tous egards, qu'il lia donc avec lui dans une maison bourgeoise et qu'a peine se furent ils envisagez qu'il proposa au deposant une promenade aux thuilleries, où etoient sa femme, sa demoiselle et la dame de Pelletot, qu'il tint au deposant en chemin faisant des propos dont il ne se rapelle pas les paroles, mais qui porterent en substance d'ecarter de l'esprit de la dame Pelletot tous sentimens de jalousie sur son compte, que cette premiere entrevuë ne donna pas au deposant d'autre lumieres, mais que quelques jours après, la dame de Pelletot, ou le s[ieur] de Bragelogne envoia au deposant un billet d'invitation pour diner, qu'il s'y rendit et y trouva la dame de Pelletot avec une autre femme, qu'il vit bientot arriver le comte susd[it], qu'on se mit a table, la dame de Pelletot, la femme qui estoit en sa compagnie, le comte susd[it] et le deposant, qu'on tint bientot les propos les plus scandaleux et pour venir a ceux qui caracterisent le commerce adultere du comte susd[it] avec la dame de Pelletot, voicy a peu près le texte des discours que le deposant a entendüs, allons m[onsieu]r, en s'adressant au deposant, il faut carrer la partie, il y a longtemps que cette femme que vous voyez, en indiquant la femme que le deposant avoit trouvé en arrivant avec la dame de Pelletot, il y a longtemps dis-je, qu'elle est bornée au plaisir de la contemplation, il est temps qu'elle joue aussy un role ; couchez ici avec elle, tandis que moi je coucheray dans l'autre appartement avec mad[am]e en indiquant precisement la dame de Pelletot, ne pouvant meme en indiquer une autre puisqu'il n'y avoit que deux femmes a table avec eux, et comme le deposant ne lui paru pas d'une humeur fort decidée pour cette partie, il commença a lui faire valoir la blancheur, l'embonpoint et le bon esprit de la femme qu'il lui proposoit et qui rougissoit sans cesse et sembloit gemir en tremblant sous la domination tirannique, que le deposant eut meme besoin des raisons les plus fortes pour se soustraire a la poursuitte de ce ministre violeur de plaisir de cette malheureuse femme, et qu'il s'en tira et alla passer la nuit chez luy ; que le deposant s'aperçut bientost dans quatre ou cinq visites qu'il rendit au comte susd[it] par des raisons de convenance, que ce n'etoit pas gratis qu'il servoit aux plaisirs criminels de ses hotes et que le deposant compris tres clairement par la proposition qu'il lui fit de transporter ses effets chez luy et d'y venir demeurer lui meme, que les plaisirs qu'il luy presentoit dans sa maison n'etoient qu'un apas pour l'attirer dans le piège ou tant d'autres etoient deja trebuché, et que les discours qu'il tint au deposant dans la d[ernie]re visitte qu'il lui fit et qui tendoient a lui insinuer qu'une malheureuse veuve qu'il avoit depouillé[e] l'avoit volé lui meme et qu'il pouroit bien lui faire son procès, acheverent d'eclaircir le deposant sur la noirceur et la corruption profonde de son cœur, qu'il ajouta même sur le comte du s[ieu]r de Pelletot des calomnies atroces, assurant qu'il pretait a la petite semaine, la dame de Pelletot apuya les discours de ce comte et prodigua elle meme les termes de monstres et de scelerat au sieur de Pelletot son mary, et d'autres injures qui sont echappées au deposant, qu'indigné de tant d'horreurs il a rompu brusquement avec une societé si dangereuse et a cessé de les voir ; que le deposant a vû sortir de la chambre de la dame de Pelletot sur l'heure de minuit le comte susd[it] en bonnet de nuit, et tout debraillé et dans l'etat d'un homme qui venoit de sortir du lit de la dame de Pelletot, et que le deposant croit bien se souvenir que le comte susd[it] lui assura qu'il venoit de prendre beaucoup de plaisir avec elle ; que le deposant a entendu de la bouche meme du s[ieu]r de Bragelogne qui faisoit parade de ses explosions, qu'il s'etoit fait faire une donation de dix mille livres par la dame de Pelletot et qu'elle avoit encore une reprise considerable sur les biens de son mary dont il esperoit de jouir bientot avec elle, cet aveu du s[ieu]r de Bragelogne a d'autant plus surpris le deposant qu'il a entendu le comte sud[it] traitter la dame de Pelletot avec la derniere indignité ; que le deposant a aussy entendu dire au comte susd[it] qu'il avoit pour environ quinze cent livres de meubles [...] a la v[euv]e Michel et que c'etoit une des plus honnetes personnes qu'il eut jamais connû, qu'elle lui fait en broderies, a point de dentelles des ouvrages de prix, et quelle etoit d'une si grande economie qu'a peine depensoit elle la pension de cents ecus qu'il lui paioit, qu'il est bon de noter que ces discours si avantageux a cette v[euv]e et dont le deposant ne dit que la moindre partie ne precedèrent que de quelques jours l'instant où il eût conçu l'abominable dessein de la faire enfermer pour les reste de ses jours affin d'heriter tout naturellement de la rente viagere qu'il lui faisoit [...] [N'a requis salaire] (AN, Y 10237, dossier Planström, pièce 1).
L'information se poursuit avec la déposition de Claude Parfait (cf. 31 mars 1761 (2)).

Le 13 novembre, lors du récolement, Fleury Peyrand de Beaussol ne modifiera rien de sa déposition (AN, Y 10237, dossier Planström, pièce 20).

Le même jour, lors de la confrontation avec la demoiselle de Planström :
L'accusée a dit pour reproche que le temoin entretient la v[euv]e Michel autrement dit la d[am]e Courbon qui de son nom de fille se nomme Testevuide [cf. 26 mars 1761 (2)], et qu'il vit avec elle, et que le temon est entierement lié avec le s[ieu]r de Pelletot, boit et mange avec lui très souvent, et qu'il l'a aidé a suborner et corrompre les temoins contr'elle et led[it] s[ieur] de Bragelonne, n'a proposé d'autres reproches.
Le temoin a denié le reproche comme faux et supposé, et ensuite a dit qu'il n'a veu le s[ieu]r de Pelletot que dix ou douze fois tout au plus, sans avoir cherché le s[ieu]r de Pelletot, qui est venu luy meme trouver lui, temoin, a l'hotel d'Orleans ou il logeoit alors, et qu'il ne l'avoit point veu auparavant, pour prier lui, temoin, de vouloir bien dire la verité dans le procès qu'il se proposoit d'intenter a la dame de Pelletot son epouse, et sans entrer dans la justification des reproches allegués, il se borne a dire pour la justification du s[ieu]r de Pelletot, qu'il est temoin qu'une personne est venüe se presenter d'abord a luy, temoin, toujours à l'hotel d'Orleans pour le prier de lui procurer la connoissance du s[ieu]r de Pelletot afin de lui donner les lumieres les plus importantes sur ce procès qu'il alloit intenter a la d[am]e de Pelletot son épouse, de la conduitte de laquelle il estoit parfaitement informé, et que cet homme ayant ensuite veu le s[ieu]r de Pelletot et lui ayant temoigné qu'il pretendoit tirer des avantages des declarations qu'il estoit en etat de faire, le s[ieu]r de Pelletot avoit brusquement rompu avec un tel homme et avoit absolument refusé d'adapter la verité a quelque prix que ce fust, qu'au reste il n'a aucune sorte de commerce avec le v[eu]ve Michel, que le seul sentiment de la consideration est le seul sentiment qu'il a pour elle, et ajoute meme avec un nouveau serment qu'il a pour la veu[ve] Michel la repugnance la plus decidée, et qu'il n'a jamais chercher a suborner aucuns temoins, ne prenant aucuns interets ny pour l'accusateur, ny pour les accusés, ayant meme esté contraint de deposer ce qui estoit a sa connoissance, ce dont il auroit voulu estre dispensé.
[Lecture déposition et récolement]
L'accusée a dit qu'elle a disné plusieurs fois avec le temoin, le s[ieu]r de Bragelonne et la v[euv]e Michel, que la v[euv]e Michel est sans doute la femme dont le temoin a voulu parler dans la partie quarrée, mais que cette partie quarrée est une calomnie et une supposition, qu'elle denie entierement la deposition du temoin, declarant cependant que puisque son mary l'accuse de toutes sortes de crimes, elle ne craint pas de mettre en avant que son mary preste a la petite semaine, qu'ainsy, si l'on a dit ce fait contre son mary, l'on n'a dit que la verité !
Le temoin en persistant dans sa deposition qu'il soutient veritable a dit qu'en effet c'est la v[euv]e Michel dont il a voulu parler dans la partie quarrée, mais que cette v[euv]e Michel, si elle a eu quelques faiblesses, ce qui n'est pas à sa connoissance, est une f[emm]e de grande probité, bien malheureuse d'avoir fait la connoissance du s[ieu]r de Bragelonne, et qu'il doit luy rendre justice qu'elle a beaucoup repugné aux instances du s[ieu]r de Bragelonne lorsqu'il a voulu la faire coucher avec lui, temoin, qui de son costé n'a jamais esté tenté de prendre aucune familiarité avec cette v[euv]e Michel (AN, Y 10237, dossier Planstrom, pièce 21).

Le même jour, lors de la confrontation avec le comte de Bragelongne :
L'accusé a dit pour reproches que le temoin est un homme qui seduit d'abord par le ton de la bonne compagnie qu'il affecte pour s'insinuer en bonnes maisons sous pretexte de sçavoir les sciences et pour se procurer des ecoliers à l'effet de se soutenir, quoy que fils d'un mercier près de Lyon sous la declaration d'habits à loyer qu'il prend pour pouvoir se presenter dans le monde, se donnant pour domicilié à Paris, quoy que n'y ayant jamais eû que quelques petits cabinets garnis, qu'il le connoit pour homme cabaliste, seditieux et dangereux dans la societé, notamment participant de la caballe qu'il fomente aujourd'huy avec le s[ieu]r de Pelletot contre lui, accusé, et dont il est le complice et l'adherant, que par consequent, luy, accusé, est en procès avec le temoin sur les libelles diffamatoires par lui dictés et redigés, meme presentés à la princesse de Modene par la v[euv]e Michel sa maitresse, ce qui est constant, que le temoin sçait changer de parties ainsy que l'interest l'y guide, puisque lorsque luy, accusé, etoit en Normandie, le temoin estant le secretaire de la v[euv]e Michel a ecrit a lui, accusé, differentes lettres pour prevenir, lui, accusé, des caballes monstrueuses du sieur de Pelletot auprès de la princesse de Modene, lesquelles lettres signées Corbon [Courbon] portent entre autres choses, que les ennemis de l'accusé profitent de son absence pour le diffamer dans l'esprit de la princesse, et que la fille du sieur de Pelletot s'y est introduit au refus de la d[am]e d'honneur pour faire parvenir lesd[its] libelles diffamatoires auprès de la princesse, et qu'il est surprenant que l'on declinât, lui, accusé, d'une maniere aussi odieuse, et ce que lui, accusé, merite si peu, et que c'est la bonté du cœur de lui, accusé, qui lui a rendu ce mauvais office ; que le temoin est en outre solliciteur des faux temoins que l'on a produits contre lui, accusé, allant de coté et d'autre pour les subjuguer de la part du s[ieu]r de Pelletot nommement du fond du marais où il demeure actuellement au fauxbourg S[ain]t Lazarre n° 33 a la pointe du jour, où il s'est transporté pour engager des gens, qu'il sçait avoir perdu des procès considerables avec luy, accusé, et estre embarassés dans leurs affaires, à deposer contre lui, accusé, que le temoin a esté à cet effet chez Me Charbonel, avocat [cf. 9 mai 1761 (2)], chez un n[omm]é Touzet [cf. 13 juillet 1761 (4)] et chez d'autres particuliers qu'il a conduits chez led[it] s[ieu]r de Pelletot, où chez lesquel il a mené le s[ieu]r de Pelletot, ainsy que dans plusieurs cabarets, que d'ailleurs lui, accusé, a surpris le temoin couché avec la veuve Courbon, et notamment pendant tout le voyage de Normandie, le meme jour du depart le temoin a couché avec lad[ite] v[euv]e Courbon ou Michel, ce qui a occasionné tant de scandales que le proprietaire et les locataires s'en sont plaints, se reservant a produire d'autres reproches qu'il a à articuler contre le temoin, n'en ayant proposé d'autres pour le present.
Le temoin repondant aux reproches a dit qu'il est vrai que la v[euv]e Michel ou Courbon l'ayant prié de prevenir le s[ieu]r de Bragelonne, accusé present, des machinations que l'on dressoit contre luy, il a effectivement ecrit une lettre ou deux, et meme plus qu'il reconnoitra lorsqu'on les lui representera, et qui en effet peuvent porter le caractere de l'amitié, mais que si on se donne la peine de comparer les dattes, on vera clairement que la noirceur profonde et la corruption à peine vraysemblable, et cependant scrupuleusement vraye de l'accusé, ne lui estoit pas connüe, que quant a l'objet qui regarde Me Charbonel, le temoin dit que la reponse qu'il a à faire sur ce reproche se trouve desja dans ce qu'il a opposé aux reproches de la d[am]e de Pelletot lorsqu'il a dit qu'un particulier estoit venu le trouver pour le prier de lui procurer la connoissance du s[ieu]r de Pelletot, que ce particulier, dont il n'a pas dit le nom devant la d[am]e de Pelletot, est Me Charbonel lui même, dont il n'avoit jamais entendu parler, et qu'il a reçu dans son lit en presence de son chirurgien nommé Rougier demeurant rüe S[ain]t Sauveur dans la maison du [Braustier], lequel s[ieu]r Rougier a entendu toutes les propositions faites par cet inconnu qui n'est autre que led[it] Me Charbonnel et auxquelles propositions, lui temoin, n'a repondu que par monosyllabes, qu'a l'egard des autres reproches presentés par l'accusé, ils sont injurieux, calomnieux et pour prouver la fausseté desd[its] reproches, luy, temoin, declare que depuis vingt ans qu'il est a Paris, il n'a donné dans toutes le maisons qu'il a pû frequenter que des preuves d'une probité consommée et d'un desinteressement dont seurement on ne trouvera pas un grand nombre d'exemples, et pour appuyer ce qu'il avance par un seul exeample, quoy qu'il en pourroit pourroit donner dix, il declare que son pere, qui estoit un negotiant a Lion tenant à de bonnes maisons, a des echevins et des consuls, et non un mercier, parmy un assés grand nombre de billets qu'il lui avoit laissés en mourant, il s'en touva un d'environ deux mille ecus sur le s[ieu]r Rollet, grand prevost de la marine a Rochefort, et qu'ayant appris que sa veuve seroit un peu gesnée par le payement de cette somme, il fust lui meme trouver le s[ieu]r [Bœing ?], 1er secretaire de l'Intendance de Lion et, luy ayant fait reconnoitre le billet du s[ieu]r Rollet, beau frere dud[it] s[ieu]r Boing, et led[it] s[ieu]r l'ayant reconnu et dit qu'il ne negligeroit rien pour le faire payer, lui, temoin, lui dit qu'il estoit informé de l'estat de mediocrité où le s[ieu]r Rollet avoit laissé sa v[euv]e, pourquoy il dechira ce billet en sa presence, qu'il n'a aucun ecolier, mais il fait un cours d'histoire aux d[ame]s de Sainte Marie depuis pres de quatre ans, ou l'on peut s'informer de ses mœurs et de sa conduite, et se reserve à se pourvoir contre la fausseté desd[its] reproches proposés par l'accusé pour en avoir toute reparation.
[Lecture déposition et récolement]
L'accusé a dit que la redaction de la deposition du temoin demontre que le temoin est l'auteur de toutes les autres depositions que lui, accusé, a desja entendües, que ce sont les memes termes et les mesmes expressions, d'un style aussi fleuri et orné, que lad[it]e deposition est absolument fausse dans l'essentiel, et qu'il est tellement vray que le temoin a sollicité et corrompu les autres temoins, que le jour de la confrontation du nommé Dessalle et sa f[emm]e, le temoin se trouva avec led[it] Dessalles [cf. 29 avril 1761 (2)], sa femme [cf. 29 avril 1761 (1)] et le s[ieu]r de Pelletot rüe des Foureurs vis a vis S[ain]te Opportune dans un cabaret où ils entrerent en sortant du Chastelet, dans lequel ils firent entrer deux autres particuliers, à l'un desquels ils proposerent apres avoir repandu les injures les plus horribles contre lui, accusé, de donner son adresse pour le faire assigner en deposition, lui offrant de l'argent et de quoy avoir une culotte ; qu'il se peut qu'en se plaignant du desordre horrible de la v[euv]e Michel, luy, accusé, a pû dire que, comme cette femme couchoit avec le premier venu, elle en pourroit faire de meme avec le temoin, que le temoin a trouvé la societé de lui, accusé, si peu dangereuse que les lettres que le temoin convient avoir ecrites prouvent entierement le contraire, se reservant a procurer ses faits justificatifs contre la deposition du temoin.
Le temoin en persistant dans sa deposition qu'il soutient veritable a dit que le fait de la rüe des Foureurs est entierement faux et supposé, que jamais il ne va au cabaret, qu'il ne boit pas avec des laquais, et que meme il ne sçait pas le jour auquel Desalle et sa f[emm]e ont esté confrontés, et que sur le fait du cabaret, il lui seroit facile de prouver l'alibi ; qu'a l'egard des lettres sur lesquelles se fonde l'accusé, lui, temoin, repete ce qu'il a dit cy dessus, qu'il ne connoissoit pas alors le caracthere de l'accusé (AN, Y 10237, dossier Planström, pièce 22).

Le témoin est également évoqué dans le factum du comte de Bragelongne (cf. [Décembre] 1762 (2)) et celui de la demoiselle de Planström (cf. [Décembre] 1762 (1)).
Abréviation
  • AN : Archives nationales.
Courcelle (Olivier), « 31 mars 1761 (1) : Les sœurs Planström : déposition Peyrand de Beaussol », Chronologie de la vie de Clairaut (1713-1765) [En ligne], http://www.clairaut.com/n31mars1761po1pf.html [Notice publiée le 4 mai 2009].