28 septembre 1765 (2) : D'Alembert (Paris) écrit à Frisi :
J'ai été dangereusement malade depuis deux mois d'une inflammation d'entrailles qui m'a mis aux portes du tombeau. [...] Ce qui me pique et m'impatiente, c'est l'impertinence de quelques gazetiers qui ont dit que cette maladie m'avait été causée par le chagrin que j'ai ressenti de ne pas obtenir la pension qui m'est due [cf. 15 août 1765 (2)] ; Il est vrai que j'ai été blessé de l'outrage qu'on me fait [cf. 18 mai 1765 (1)], mais non jusqu'à être malade (Delbeke 38, p. 146).
Le même jour, d'Alembert écrit une lettre similaire à Lagrange (cf. 28 septembre 1765 (3)) et fait une mise au point pour le Journal encyclopédique (cf. 28 septembre 1765 (1)).
Courcelle (Olivier), « 28 septembre 1765 (2) : D'Alembert (Paris) écrit à Frisi », Chronologie de la vie de Clairaut (1713-1765) [En ligne], http://www.clairaut.com/n28septembre1765po2pf.html [Notice publiée le 13 mai 2013].