21 juin 1765 (1) : D'Alembert (Paris) écrit à Frisi :
Cependant on me refuse aujourd'hui en France la chose la plus juste, la pension que M. Clairaut laisse vacante par la mort [cf. 17 mai 1765 (1)] et qui m'est dévolue de droit, comme au plus ancien de tous ceux qui peuvent la demander [cf. 18 mai 1765 (1)] (Delbeke 38, p. 142).
Delbeke (Francis, baron de), La franc-maçonnerie et la révolution française, Anvers, 1938, p. 142 [9 juillet 1765 (1)] [Plus].
Courcelle (Olivier), « 21 juin 1765 (1) : D'Alembert (Paris) écrit à Frisi », Chronologie de la vie de Clairaut (1713-1765) [En ligne], http://www.clairaut.com/n21juin1765po1pf.html [Notice publiée le 13 mai 2013].