13 août 1734 (1) : Dortous de Mairan (Paris) écrit à Bouillet :
En temps et lieu, je vous parlerai de quelques autres savants, écoliers de M. Bernoulli, à qui du moins j'ai jeté beaucoup de scrupules dans l'esprit sur [les forces vives], et que j'ai réduit à dire que ce n'était qu'une question que de nom ; subterfuge honnête, car ce n'est pas assurément une question de nom à partir de l'état où feu M. Leibniz et M. Bernoulli l'ont mise (Mairan 60b, p. 142).
Ce sera le point de vue de Clairaut, ainsi qu'il en fera part à la marquise du Châtelet (cf. [? mai 1741]) et à MacLaurin le 18 septembre 1741 (cf. 18 septembre 1741 (1)). Il sera repris par Voltaire (cf. 1 juillet 1741 (2)) et d'Alembert (cf. [? mai 1741]).
Référence
Mairan (Jean-Jacques Dortous de), « Lettres inédites de Mairan à Bouillet », Bulletin de la Société archéologique, scientifique et littéraire de Béziers, 2e série, vol. 2, Béziers, 1860 [Télécharger] [2 octobre 1735 (1)] [Plus].
Courcelle (Olivier), « 13 août 1734 (1) : Dortous de Mairan (Paris) écrit à Bouillet », Chronologie de la vie de Clairaut (1713-1765) [En ligne], http://www.clairaut.com/n13aout1734po1pf.html [Notice publiée le 18 août 2007].