MM. de Thury et du Séjour ont fait le rapport suivant du mémoire de M. du Vaucel. L'auteur s'est proposé dans ce mémoire de déterminer les phases les plus remarquables de l'eclipse du seize août. […] Quant a l'eclipse du cinq août 1766 [...]. Les eléments des calculs astronomiques on été tirés des tables de MM. Clairaut [C. 392=C. 412], Mayer et de La Caille (PV 1765, f. 338-339r).
Extrait du mémoire dans le Mercure de France : La conjonction a été calculée avec les tables de M. Clairaut ; il se trouve qu'elle arrivera à Paris le 5 août, à cinq heures cinquante-deux minutes, cinquante-cinq secondes du soir ; la latitude au temps de la conjonction sera de trente-deux minutes quarante-deux secondes (Mercure de France, septembre 1766, p. 40).
Abréviations
C. 392 : Clairaut (Alexis-Claude), Théorie de la Lune, déduite du seul principe de l'attraction réciproquement proportionnelle aux quarrés des distances, seconde édition à laquelle on a joint des Tables de la Lune, construites sur une nouvelle révision de toutes les espèces de calculs dont leurs équations dépendent, Paris, Dessaint et Saillant, (mars) 1765, in-4°, viii-162 p., 1pl [Télécharger] [5 septembre 1764 (2)] [(7 novembre) 27 octobre 1737 (1)] [15 novembre 1747 (1)] [Plus].
C. 412 : Clairaut (Alexis-Claude), Théorie de la Lune, déduite du seul principe de l'attraction réciproquement proportionnelle aux quarrés des distances, seconde édition à laquelle on a joint des Tables de la Lune, construites sur une nouvelle révision de toutes les espèces de calculs dont leurs équations dépendent, Paris, Dessaint et Saillant, (mars) 1765, in-4°, viii-162 p., 1pl [Télécharger] [5 septembre 1764 (2)] [(7 novembre) 27 octobre 1737 (1)] [15 novembre 1747 (1)] [Plus].
PV : Procès-Verbaux, Archives de l'Académie des sciences, Paris.
Courcelle (Olivier), « 3 août 1765 (2) », Chronologie de la vie de Clairaut (1713-1765) [En ligne], http://www.clairaut.com/n3aout1765po2pf.html [Notice publiée le 13 mai 2013].
La conjonction a été calculée avec les tables de M. Clairaut ; il se trouve qu'elle arrivera à Paris le 5 août, à cinq heures cinquante-deux minutes, cinquante-cinq secondes du soir ; la latitude au temps de la conjonction sera de trente-deux minutes quarante-deux secondes (Mercure de France, septembre 1766, p. 40).