Clairaut meurt veillé par sa cuisinière Françoise Petit et une certaine demoiselle Delaitre, veuve Payon vers deux heures du matin dans son deux pièces au premier étage de l'aile droite du petit hôtel de Valois, vis-à-vis l'hôtel de Nivernois, rue de Tournon, ainsi que cela apparaît sur le procès verbal de l'apposition des scellés qui a lieu le jour même (cf. 30 août 1767 (2)). Il est inhumé le lendemain à Saint-Sulpice (cf. 31 août 1767 (1)). Son testament du 31 juillet (cf. 31 juillet 1767 (1) est vu au greffe le 2 septembre (cf. 2 septembre 1767 (1) (et insinué le 11 (cf. 11 septembre 1767 (1))). Le procureur du Roi « sur l'avis a luy donné » que Clairaut le père « etoit bastard » s'oppose à la levée des scellés et ordonne que ses biens soient attribués au Roi (cf. 10 septembre 1767 (1)).
Courcelle (Olivier), « 30 août 1767 (1) : Mort de Clairaut le père », Chronologie de la vie de Clairaut (1713-1765) [En ligne], http://www.clairaut.com/n30aout1767po1pf.html [Notice publiée le 11 mai 2013].