22 septembre 1738 (1) : Clairaut (Tremblay) écrit à la marquise du Châtelet.
C'est une lettre en forme de post-scriptum à une lettre de Dortous de Mairan. Elle est ainsi décrite par un catalogue de manuscrits : 2° Minute aut[ographe] de Dortous de Mairan, en réponse à la lettre précédente [à Dufay, cf. 18 septembre 1738 (1)] de la marquise du Chastellet, datée du Tremblay, le 22 sept. 1[7]38, 1 p. in-4. Il n'a point présentement à examiner si en effet les rayons de lumière décrivent une cycloïde en traversant notre atmosphère : « Je suis fort porté à le croire d'après M. Bernoulli... » 3° Minute au[tographe] de Clairaut, de l'écrit ajouté à la feuille de la réponse précédente à la marquise du Chastellet, sur la cycloïde... ; sans entrer dans la cause physique de la réfraction, il lui paraît, comme à M. de Mairan, qu'elle n'est point la ligne du plus court temps, dans ce cas. Il va lui rappeler, autant qu'il lui sera possible, en quoi consiste la propriété de la cycloïde par laquelle elle est la ligne de la plus vite descente, etc., etc (Trémont 52, p. 65). La lettre faisait partie de la collection du baron de Trémont, qui a été mise en vente après sa mort le 9 décembre 1852 et jours suivants (Trémont 52). De la correspondance connue entre la marquise du Châtelet et Clairaut, la lettre qui suit est celle du 4 janvier [1741].
Référence
Trémont (Louis-Philippe-Joseph Girod de Vienney, baron de), Catalogue de la belle collection de lettres autographes de feu M. le baron de Trémont dont la vente aura lieu le jeudi 9 décembre 1852 et jours suivants, Paris, 1852 [Télécharger] [19 octobre 1746 (1)].
Courcelle (Olivier), « 22 septembre 1738 (1) : Clairaut (Tremblay) écrit à la marquise du Châtelet », Chronologie de la vie de Clairaut (1713-1765) [En ligne], http://www.clairaut.com/n22septembre1738po1pf.html [Notice publiée le 27 juillet 2010, mise à jour le 9 février 2016].
2° Minute aut[ographe] de Dortous de Mairan, en réponse à la lettre précédente [à Dufay, cf. 18 septembre 1738 (1)] de la marquise du Chastellet, datée du Tremblay, le 22 sept. 1[7]38, 1 p. in-4.
Il n'a point présentement à examiner si en effet les rayons de lumière décrivent une cycloïde en traversant notre atmosphère : « Je suis fort porté à le croire d'après M. Bernoulli... »
3° Minute au[tographe] de Clairaut, de l'écrit ajouté à la feuille de la réponse précédente à la marquise du Chastellet, sur la cycloïde... ; sans entrer dans la cause physique de la réfraction, il lui paraît, comme à M. de Mairan, qu'elle n'est point la ligne du plus court temps, dans ce cas. Il va lui rappeler, autant qu'il lui sera possible, en quoi consiste la propriété de la cycloïde par laquelle elle est la ligne de la plus vite descente, etc., etc (Trémont 52, p. 65). La lettre faisait partie de la collection du baron de Trémont, qui a été mise en vente après sa mort le 9 décembre 1852 et jours suivants (Trémont 52). De la correspondance connue entre la marquise du Châtelet et Clairaut, la lettre qui suit est celle du 4 janvier [1741].