Outre la rue Clairaut à Paris (cf. 11 septembre 1869 (1)), il existe aussi une rue Clairaut au Havre, une rue Alexis Clairaut à Brest, un square Clairaut à Meaux, une salle Clairaut sur le site de l'Observatoire Midi-Pyrénées à Toulouse, une salle Clairault sur le site de École nationale des sciences géographiques à Marne-La-Vallée, un Cape Clairault en Australie (cf. 2 février 1803 (1)), un cratère Clairaut sur la Lune (cf. 1935 (1)), un tableau de Carolyn Goldsmith intitulé Rue Clairaut, un mois du calendrier positiviste de Comte appelé Clairaut, une équation de Clairaut (cf. 30 juin 1734 (1)), une condition de Clairaut en optique, un objectif de Clairaut (Michard 56) ou de Clairaut-Mossotti (ou Mossoti) (Chrétien 24...), une formule de Clairaut, des théorèmes de Clairaut (ex. cf. 4 mars 1739 (1)), un axiome de Clairaut, une constante de Clairaut, une submersion de Clairaut en géométrie différentielle [(Bishop 72)]...

Un limier du chenil du palais impérial de Fontainebleau s'appelait Clairault (cf. 1862 (1)).

Un vin a été étiqueté « Grands Vins de Table / Château Clairaut / Paulus de Graves / Bordeaux / R. C. A. 2776 Déposé C. T. »

Il existe un passage de Clairault à Beaune-la-Rolande dans le Loiret, un étang Clairaut près de Méobecq dans l'Indre, un chemin du Clairault à Véretz en Indre-et-Loire, un pont Clairaut à Avallon (ou Cousin-la-Roche) dans l'Yonne.

Une Marthe Clairault apparaît dans le film Mitsou (cf. 1956 (1)) et un Pierre Clairaut [qui cache Maurice de Gandillac] dans les Mémoires d'une jeune fille rangée de Simone de Beauvoir (Beauvoir 58).