M[onsieu]r Duhamel directeur a lu la lettre suivante de M. le comte de d'Argenson écrite de Versailles le 2 de ce mois. J'ai M. rendu compte au Roi de la demande que l'Acad[ém]ie des sciences a faite d'une somme de 6 000 # qu'éxige le transport au Louvre des cabinets de feu M. d'Onsembray [cf. 30 août 1755 (1)]. Sa M[ajes]té a bien voulu la lui accorder, et l'ordonnance en sera expediée incessamment. [...] Après la lecture de laquelle il a êté arrêté que MM. de Mairan, Bouguer et Clairaut, iroient le remercier au nom de l'Académie (PV 1756, p. 75).
La présence de Clairaut n'est pas reportée sur les PV (cf. 4 février 1756 (1)). Le 4 septembre 1756 : MM. les pensionnaires êtant demeurés après la séance, MM. Duhamel, Camus et de Montigny, ont rendu compte de l'éxécution du testament de feu Mons[ieu]r d'Onsembray, et dit que M[onsieu]r son neveu contestoit à l'Académie quelques articles : sur quoi il a êté résolu de lui en abandonner quelques uns, et sur le tout de s'en rapporter à la prudence de M. le comte d'Argenson auquel il en seroit référé (PV 1756, p. 499). L'affaire se poursuit le 13 mai 1757 (cf. 13 mai 1757 (1)).
Abréviation
PV : Procès-Verbaux, Archives de l'Académie des sciences, Paris.
Courcelle (Olivier), « 4 février 1756 (2) », Chronologie de la vie de Clairaut (1713-1765) [En ligne], http://www.clairaut.com/n4fevrier1756po2pf.html [Notice publiée le 4 février 2011].
MM. les pensionnaires êtant demeurés après la séance, MM. Duhamel, Camus et de Montigny, ont rendu compte de l'éxécution du testament de feu Mons[ieu]r d'Onsembray, et dit que M[onsieu]r son neveu contestoit à l'Académie quelques articles : sur quoi il a êté résolu de lui en abandonner quelques uns, et sur le tout de s'en rapporter à la prudence de M. le comte d'Argenson auquel il en seroit référé (PV 1756, p. 499). L'affaire se poursuit le 13 mai 1757 (cf. 13 mai 1757 (1)).